En résumé, la soi-disant économie « collaborative », loin de marquer l’avènement d’une nouvelle ère de collaboration, d’égalité et de propriété commune, n’est que l’excroissance d’un capitalisme parasitaire, excroissance parée d’un peu de rouge à lèvres pour la rendre plus attirante. Comme les prostituées qui cachaient les symptômes de leur maladie avec du maquillage, transformant leurs boutons en grains de beauté, le capitalisme pourrissant, en pleine décadence, essaye de travestir ses caractéristiques les plus abjectes en objet de vénération.