Avec son livre l’Ancêtre en Solitude (Seuil), la Guadeloupéenne Simone Schwarz-Bart, reprend le cycle littéraire élaboré avec son mari, feu André Schwarz-Bart, père de La mulâtresse Solitude. En ces temps de concurrence mémorielle, où une minorité d’Antillais « anticolonialistes » (pas tous mais…) reprochent à « papa » Hollande d’aimer plus les Juifs Français que les Noirs Français (a pa jé !), cet article de Jérôme Garcin (Nouvel Obs) nous ramène à une époque, pas si lointaine, où écrire impliquait un labeur préalable de la pensée.
A la mémoire d’André Schwartz-Bart, le Blanc qui avait osé écrire sur les Antilles
par Jérôme GARCIN
Dix ans après la mort de l’auteur du « Dernier des Justes« , sa femme, Simone, reprend le cycle antillais qu’ils avaient imaginé ensemble et dû abandonner devant les critiques. Elle s’en explique.
C’est le plus beau couple métis de la littérature française. Un demi-siècle d’amour…
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